6 décembre 2010
Louis Aragon. Il ne m'est Paris que d'Elsa
Avant d’aller plus loin, il faut savoir que j’ai développé une véritable passion pour Aragon. Plus que ça. C’est une addiction. Je ne peux pas vivre sans lui. Et je le lis, le relis, encore et encore, ad libitum, ad vitam aeternam, et cætera. Je panique...